Economique et sociale (ES)

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Le bac ES est un bac équilibré avec de l’économie, de l’histoire, de la géographie, des mathématiques, … Une série pour approfondir la compréhension du monde contemporain.

 [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_accordion collapsible= »yes » active_tab= »0″][vc_accordion_tab title= »Pour qui ? »][vc_column_text]

Pour ceux qui s’intéressent aux questions d’actualité et aux problématiques économiques et sociales du monde contemporain.

[/vc_column_text][/vc_accordion_tab][vc_accordion_tab title= »L’enseignement d’exploration des sciences économiques et sociales en seconde »][vc_column_text]

L’enseignement d’exploration de sciences économiques et sociales en classe de seconde (1h30 hebdomadaire) a pour objectif central d’ouvrir la culture des lycéens à de nouveaux champs disciplinaires que leurs études antérieures ne leur ont pas permis d’aborder.

Cet enseignement vise à :

– donner à tous les élèves, qu’ils poursuivent ou non leurs études dans les séries ES ou STMG, les éléments de base d’une culture économique et sociologique indispensable à la formation de tout citoyen qui veut comprendre le fonctionnement de l’économie et de la société dans laquelle il vit ;

– permettre aux élèves de découvrir une discipline scolaire nouvelle et contribuer ainsi à un choix éclairé de leur parcours de formation en cycle terminal ;

– faire acquérir aux élèves quelques notions et raisonnements essentiels en économie et en sociologie dans la perspective d’une poursuite d’études au lycée et au delà dans l’enseignement supérieur : principalement des études en Économie et gestion, Droit, Sciences humaines et sociales, Institut d’études politiques, Classes préparatoires commerciales et Lettres-sciences sociales.

Thèmes d’exploration :

  1. Ménages et consommation
  2. Entreprises et production
  3. Marchés et prix
  4. Formation et emploi
  5. Individus et cultures

[/vc_column_text][/vc_accordion_tab][vc_accordion_tab title= »Les programmes du cycle terminal »][vc_column_text]

  • Ÿ En première

L’emploi du temps comprend des enseignements communs à tous les élèves des séries générales (français, histoire-géographie, éducation civique, juridique et sociale, EPS et langues vivantes). Leur objectif : partager une culture générale fondamentale et faciliter les éventuels changements de série.

S’y ajoutent des enseignements spécifiques, parmi lesquels :

– un enseignement de sciences économiques et sociales pour s’approprier progressivement les concepts, méthodes et problématiques essentiels en science économique, sociologie générale et sociologie politique).

– un enseignement de mathématiques pour acquérir un bagage solide et adapté aux poursuites d’études en économie et en sciences humaines.

  • Ÿ En terminale

Des enseignements communs demeurent (LV1 et LV2, EPS, éducation civique, juridique et sociale) à côté des enseignements spécifiques qui ont un poids plus important qu’en première :

  • sciences économiques et sociales (coef. 7)
  • mathématiques (coef. 5)
  • histoire-géographie (coef. 5)

De plus, s’ajoute un enseignement de spécialité au choix permettant d’acquérir des profils différents dans la perspective d’une poursuite d’études (coef.2) :

  • mathématiques
  • sciences sociales et politiques
  • économie approfondie

Voir en ligne : Accéder au site

[/vc_column_text][/vc_accordion_tab][vc_accordion_tab title= »L’enseignement de spécialité en terminale au lycée Jean Cassaigne »][vc_column_text]

Vous avez le choix entre les mathématiques ou les sciences sociales et politiques (1h30 hebdomadaire).

La spécialité sciences sociales et politiques : pour quelle orientation ?

Cette spécialité est indiquée pour ceux qui veulent entrer en IEP (institut d’études politiques), en fac de sciences humaines et sociales, de droit, d’AES (administration économique et sociale), de lettres, en école du secteur social, en DUT carrières juridiques ou DUT GEA, en BTS économie sociale et familiale, etc.

Cet enseignement de spécialisation doit permettre aux élèves de se familiariser avec les apports des sciences sociales et politiques à la réflexion informée et critique sur l’évolution de la vie politique contemporaine en France et en Europe. S’inscrivant dans le prolongement de l’enseignement de la classe de première et en complément avec le programme spécifique de la classe terminale, ce programme de spécialisation est basé principalement sur les acquis de la science politique.

La science politique constitue une discipline propice à un enseignement de spécialisation susceptible d’aborder scientifiquement les questionnements contemporains. Cet enseignement suppose l’apprentissage des savoir-faire nécessaires à un travail sur les documents et données empiriques disponibles.

Voir en ligne : Accéder au site

[/vc_column_text][/vc_accordion_tab][vc_accordion_tab title= »Pour quelles études ? »][vc_column_text]

Avec un profil scolaire équilibré et pluridisciplinaire, les bacheliers ES peuvent envisager une poursuite d’études dans des domaines variés : lettres et langues, sciences humaines et sociales, économie et gestion, droit…

L’université, une voie toute tracée

Les ES forment le gros des troupes de trois licences : droit, sciences économiques et AES (administration économique et sociale).

La licence de droit s’adresse aux ES qui ont un goût pour l’écriture et un intérêt pour l’actualité.

En licence de sciences économiques, les cours portent sur la macro-économie, la politique économique, l’histoire de la pensée économique.

La licence AES est, quant à elle, pluridisciplinaire et comporte des cours de droit, de gestion, de sociologie.

Outre ces différentes licences, les bacheliers ES sont aussi très ­présents dans toutes les licences de sciences humaines : sociologie, histoire, géographie, psychologie. Le double aspect de ces filières, qui requièrent à la fois des qualités littéraires (nombreux travaux de rédaction) et des compétences scientifiques (utilisation des statistiques), ­correspond bien au profil généraliste des ES.

Un site pour découvrir les différents objectifs de l’université : s’insérer professionnellement, être accompagné, rester connecté et dialoguer.

Voir en ligne : Accéder au site

BTS et DUT, une première marche

Venant juste après l’université en ternes de nombres d’inscrits, les bacheliers de la filière ES s’orientent à parts égales en DUT et en BTS. Un choix de poursuite d’études convenant bien à tous ceux qui préfèrent être encadrés dans leurs études.

Les BTS sont destinés à ceux qui veulent tout de suite du concret et ont envie de connaître les techniques d’un métier.

Les DUT sont un bon tremplin pour envisager une poursuite d’études en licence et en ­master à l’université. Les facs abritent des écoles universitaires de management (ex-IAE), qui proposent diverses formations en management et gestion à partir de la L1 et jusqu’au M2.

Que ce soit après un BTS ou un DUT, les bacheliers ES réussissent également très bien les concours des grandes écoles de commerce.

Parmi les différentes spécialités de DUT existantes, le DUT GEA (gestion des entreprises et des administrations) est le diplôme phare des bacheliers ES. Très convoité, ce cursus généraliste en gestion (cours de marketing, de comptabilité, de droit des affaires, de finance) prépare très bien à la poursuite d’études en gestion. D’ailleurs, les enseignements ressemblent beaucoup à ceux dispensés dans les écoles de commerce.

Du côté des STS (section de technicien supérieur), ce sont les BTS MUC (management des unités commerciales) et commerce international qui séduisent le plus les ES, suivis de près par le BTS comptabilité et ­gestion des organisations. Mais les ES sont aussi les bienvenus, même s’ils sont moins nombreux à faire ce choix, dans les BTS notariat, assurance ou professions immobilières, pour les plus rigoureux ; tourisme ou communication, pour les personnalités extraverties ; ou économie sociale et familiale pour tous ceux qui ont la fibre sociale.

Les classes prépas.

Seule une petite part des ES s’oriente vers les prépas. La plupart des ES optent pour les prépas économiques et commerciales (ECE), tremplin vers les écoles de commerce.

Quelques-uns se dirigent vers les prépas littéraires. Il est également intéressant de noter qu’il existe des prépas très bien adaptées aux ES qui mélangent droit et économie, appelées prépas Cachan. En outre, des prépas ­littéraires dites “B/L”, conjuguent lettres, histoire, maths, sociologie et économie.

Les grandes écoles post-bac, sur concours.

Il est possible d’intégrer une école de commerce, directement après le baccalauréat, sans passer par une classe préparatoire aux grandes écoles ou par un IUT (institut universitaire de technologie). Certaines, comme celles des concours Sésame et Accès (ESSCA, IESEG, BBA ESSEC, CESEM, CeseMed…), sont assez sélectives, à l’égal d’établissements qui recrutent dans les classes préparatoires, tandis que d’autres sont plus accessibles.

Information sur les IEP

Après un bac ES, il est tout à fait possible d’envisager d’intégrer un IEP (institut d’études politiques), dont le cursus en cinq ans mêle droit, histoire et sciences politiques. Pour réussir les concours d’entrée, un excellent niveau en langues et une très bonne culture générale sont indispensables.

Voici donc une fiche synthétique (préparée les membres de www.ecosocio.fr) sur les différents instituts, les modalités de recrutement et les prépas.

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Lycéens et apprentis au cinéma

 

Entre nos mains Un film de Mariana Otero

Synopsis

Confrontés à la faillite de leur entreprise de lingerie, des salariés – majoritairement des femmes – tentent de la reprendre sous forme de coopérative. Au fur et à mesure que leur projet prend forme, ils se heurtent à leur patron et à la réalité du « marché ». L’entreprise devient alors un petit théâtre où se jouent sur un ton espiègle, entre soutiens-gorge et culottes, des questions fondamentales économiques et sociales. Les salariés découvrent dans cette aventure collective une nouvelle liberté.

 

L’exemple de l’entreprise Starissima permettra de montrer les liens au sein du monde du travail : relations de sociabilité entre collègues, participation à un projet collectif. On montrera ainsi les conséquences positives du projet de SCOP sur la solidarité dans l’entreprise et la cohésion des salariés. On pourra aussi montrer la difficile prise de décision individuelle de participer à un projet collectif (hésitation, peur des salariés, en particulier des ouvrières).

Les questions portent exclusivement sur le film.

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